Il dénonce ensuite les tares de la psychiatrie à la française avant d’enquêter sur le Tour de France qu’il appelle « tour de souffrance ». Enfin il s’attaque aux proxénètes de Pigalle et à la traite des blanches en Argentine. Puis, Londres apprend qu’un forçat rencontré à Cayenne s’est échappé. Il s’agit d’Eugène Dieudonné, un menuisier anarchiste condamné sans preuve lors du procès de « La bande à Bonnot ». Londres le retrouve au Brésil, raconte les péripéties de l’évasion et obtient que Dieudonné soit gracié.