Il part en Chine pour Le Journal. Les Japonais envahissent le pays. Londres suit les évènements puis s’embarque pour la France sur le Georges-Philippar. À bord, il se confie à un couple et évoque le trafic d’armes et d’opium. « C’est de la dynamite », leur dit-il. Mais le 16 mai, à Aden, un incendie se déclare à bord du navire. Soixante-sept personnes disparaissent au cours de la catastrophe et Londres fait partie des victimes. D’aucuns pensent qu’on a voulu liquider le journaliste qui en savait trop. Ses confidents, rescapés, meurent dans le crash de l’avion qui le ramène en France…