Entre 1915 et 1918, Londres se rend au sud-est de l’Europe, là, où, pense-t-il, tout se joue. Ayant rompu avec Le Matin, c’est pour Le Petit Journal, le quotidien le plus lu en France, qu’il raconte les combats de l’armée d’Orient. Il erre sur les fronts de Serbie en Grèce et de Turquie en Albanie. De retour en France, il couvre la fin du conflit sur les tranchées du nord, mais ses relations avec l’Armée sont tendues. La censure militaire le taxe d’insubordination et d’insolence.