Le 1er août 1914, la guerre est déclarée. Londres a trente ans, mais comme il est réformé, Le Matin l’affecte au ministère de la Guerre à Reims, puis enfin au front où il devient correspondant de guerre. Dorénavant, il signe ses reportages. Ses papiers font sensations, son style détonne : plutôt que de se réfugier derrière l’objectivité, il écrit à la première personne. Il raconte ce qu’il voit, ce qu’il ressent et ce qu’il sait.